L’ibuprofène est l’un des antalgiques les plus utilisés en France après le paracétamol. 20% des Français en prennent plus d’une fois par mois.
Pourtant les connaissances sur le bon usage de ce médicament contre la douleur restent insuffisantes. C’est ce que révèle une enquête menée par OpinionWay pour l’OFMA et l’Institut ANALGESIA.
L’enquête révèle que plus d’un tiers des consommateurs d’ibuprofène l’utilisent pour soulager un mal de tête (céphalée ou migraine) ; viennent ensuite, le mal de dos (30%) et les douleurs articulaires (27%).
Mais les bonnes pratiques d’automédication restent à améliorer, notamment sur les risques pendant la grossesse. En effet, plus d’un Français sur 2 méconnait la toxicité fœtale de l’ibuprofène.
» 1 femme sur 10 déclare avoir déjà pris de l’ibuprofène en automédication pendant sa grossesse «
La méconnaissance du bon usage de l’ibuprofène constituent donc des situations à risque d’atteinte du fœtus pendant la grossesse.
Retrouvez et partagez ici la version vidéo des résultats de cette enquête :
Une information répétée sur le bon usage de l’ibuprofène en automédication est indispensable pour prévenir ce risque évitable.
Aussi, c’est pour répondre à ce besoin que l’OFMA et l’Institut ANALGESIA se sont associés à l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé) pour concevoir une vidéo sur le bon usage de l’ibuprofène.
Regardez et partager la vidéo sur le bon usage de l’ibuprofène
